
Prélude : Initialement, cette lettre avait été écrite le 18 Juin 2021, et donc bien avant ce fameux 12 Juillet et les annonces faites en France dans le but de stigmatiser les non-vaccinés et divisés les français. A la vue du climat actuel qui est exactement ce que j’écrivais un mois plus tôt, j’ai décidé de publier ce texte.
Tout le monde connaît la petite histoire du vilain petit canard, qui par sa différence par rapport à ses congénères tend à être exclut du groupe et non reconnu pour ce qu’il est ; un simple canard comme les autres. Au-delà des apparences, ce qui motivent ces congénères à le rejeter est leur conditionnement à ce que l’homogénéité puisse être la norme, et que seul cette même homogénéité puisse être la vérité acceptable.
En ce moment dans les temps chahutés de notre société en pleine crise pandémique, nous voilà bien dans une basse-cour chaotique sous un temps orageux et propice aux orages. Au-delà de la météo, c’est peut-être bien du climat ambiant et de l’électricité dans l’air dont il s’agit ici. Ne sommes-nous pas poussés à être tels ces canards homogènes, sachant bien tenir la nage en file indienne bien ordonnée ? Ne s’agit-il pas de plus en plus d’une société qui nous pousse à montrer du doigt et moquer celui qui sortirait de ce cadre normé, imageant la petite marre où l’on nous autorise bien sagement à nager ?
Ici, le sujet évoqué est la perte de toute notion de réflexion et de connexion à ses propres ressentis quant à ce qui est bon au non pour nous, chacun, personnellement. Noyé dans la peur et l’incertitude constante sur tous les plans depuis le début de la crise Covid-19, voilà qu’il me semble que tout esprit critique a disparu, laissé entre les mains des sachants, et de ceux qui nous gouvernent, laissant ainsi la plupart des individus déléguer à autrui le fait de savoir ce qui est bon pour eux et pour leurs enfants.
Il m’est récemment arrivé à plusieurs reprises d’évoquer le sujet de la vaccination avec différentes personnes l’ayant déjà faite, et d’autre sur le point de la faire. Sans aucun jugement vis-à-vis d’eux sur le sujet, j’ai souvent été surpris de ce que j’entendais. Pour moi il y a ceux qui avaient déjà une justification établie au pourquoi, ou bien ceux qui n’avait pas de réflexion particulière sur le pourquoi, et qui avouaient naturellement qu’il faut le faire, comme tout le monde ; comme si il n’y avait aucune réflexion à avoir sur le sujet.
Bien naturellement, dans les justifications établies, pour beaucoup, il s’agissait de pouvoir se donner au plus vite la possibilité de retrouver la vie d’avant, ou bien de pouvoir se garantir le droit de voyager, participer à quelconque événement, et passé un été tranquille, etc. A ceci, quasi systématiquement, se rajoutait le bon discours moralisateur propagé partout par le gouvernement et les média ; protéger ses proches, ne pas contracter de formes graves, stopper la propagation du virus, etc. Ce que j’en comprend, c’est qu’il s’agit ici de stimulis répondants à une politique de la peur. Ces peurs entretenues perpétuellement depuis si longtemps ; or, ne sait-on pas le pouvoir que celles-ci peuvent avoir à nous faire prendre des décisions complètement déraisonnées ?
Ici, il est important de rappeler que les vaccins n’empêchent pas de contracter le virus, ni de le transmettre, et que de ce fait, ces justificatifs deviennent selon moi quelque peu bancals. De plus, sans être trop expert, on comprend bien qu’un vaccin puisse au final favoriser la mutation d’un virus, et donc des variants, qui demandera un nouveau vaccin la saison suivante. D’autre part, il semble que le manque de recul vis-à-vis de ces vaccins est tout de même non négligeable dans la prise en compte du rapport de risque à s’injecter un corps étranger dans l’organisme alors que la grande majorité de la population est en bonne santé, et n’est pas à risque quant à de formes graves de la maladie.
Dans l’entame d’un chemin spirituel, on apprend que les réponses sont en nous, et que ce n’est donc qu’illusion que d’espérer aller les chercher à l’extérieur de soi ; et il en va de soi pour toute aide que l’on peut chercher à l’extérieur. Notre corps est un véhicule qu’il faut savoir écouter, car il peut être porteur d’informations et de ressentis importants. Quand on parle de savoir s’écouter, ou écouter son âme, ou son être intérieur, cela peut passer par apprendre à écouter son corps, et son coeur.
A ce titre, et pour revenir au sujet, je me demande combien de personnes se sont posées la question intérieur vis-à-vis de cette vaccination. A mon sens peu, et pour certaines personnes l’ayant fait, je pense qu’il est arrivé que celles-ci préfèrent ramener leur logique du mental qui leur demande de faire comme tout le monde, et de faire taire ce ressenti intérieur qui n’aurait pas lieu d’être… Vous savez, le même ressenti qui fait dire à certains que oui ils se sont vaccinés, mais que non, jamais ils y enverront leurs enfants, car bon, on ne sait jamais…
Donc à tout un chacun, quelque soit ce que vous avez fait, ou décidé de faire prochainement avec ce vaccin, rappelez-vous qu’il n’est pas si mauvais parfois d’assumer être le vilain petit canard, de finir par assumer qui l’on est intérieurement et ce que l’on ressent, et il se trouvera que celui-ci puisse se reconnaître tel un beau signe qui finira par trouver sa place et son épanouissement, et puisse être reconnu pour ce qu’il est.
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